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 Parizeau réplique,,

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Parizeau réplique,, Empty
MessageSujet: Parizeau réplique,,   Parizeau réplique,, EmptyMar 14 Juin - 9:13

Parizeau désavoue Marois
La liberté de parole est bafouée au PQ, constate l'ancien premier ministre dans sa réplique aux «jeunes»
Antoine Robitaille 14 juin 2011 Québec
L’ancien premier ministre Jacques Parizeau a écrit une lettre au Devoir dans laquelle il déplore une série d’erreurs ayant mené à un «gâchis» au PQ.

Photo : Jacques Nadeau - archives Le Devoir
L’ancien premier ministre Jacques Parizeau a écrit une lettre au Devoir dans laquelle il déplore une série d’erreurs ayant mené à un «gâchis» au PQ.
Québec — Jacques Parizeau refuse de se taire. Et en s'exprimant dans une lettre au Devoir aujourd'hui, il écorche sérieusement — sans jamais la nommer — Pauline Marois, dont il condamne l'approche souverainiste, le non-respect de la liberté d'expression au sein du PQ, mais aussi des fautes stratégiques récentes qui ont mené à un «gâchis».

Or, après celui-ci, «vous venez me demander [...] de me taire! Comment pouvez-vous croire un instant que je pourrais obtempérer?», tonne l'ancien premier ministre dans sa missive. Sur un ton à la fois cinglant et parfois indigné, il réplique donc au texte — aussi publié dans nos pages samedi — de 12 députés dits «jeunes» qui lui intimaient de se faire moins présent dans le débat public et de leur faire davantage «confiance».

M. Parizeau n'est pas tendre pour les 12 signataires — dont Nicolas Girard, Véronique Hivon et François Rebello —, soulignant que, dans leur texte, ils ont «abusé» des «poncifs de la rectitude politique», ont donné dans l'«enflure verbale» et dans la «fanfaronnade» sans intérêt.

«Cette lettre m'a beaucoup étonné», euphémise au départ M. Parizeau, reprenant son commentaire laconique de samedi, en marge d'un colloque des Intellectuels pour la souveraineté (IPSO), où il a présenté une synthèse des débats de la journée.

C'est pour parer aux coups de cette journée que l'opération des 12 «jeunes» a été mise en branle par la direction du parti, et elle s'est poursuivie hier. Les Nicolas Girard et Martine Ouellet, entre autres, ont fait la tournée des médias hier pour soutenir qu'ils n'avaient jamais voulu, par leur lettre, faire taire M. Parizeau qui avait été leur «mentor». «Nous, on a voulu qu'il pèse ses paroles samedi devant les IPSO.

On est dans une crise, c'est pas le temps d'en rajouter», a soutenu pour sa part François Rebello hier: «Il doit réaliser que, s'il critique le parti, c'est non seulement la chef qu'il critique, mais nous autres aussi. Nous avons besoin de son appui pour poursuivre le combat.»

Faux et vrais jeunes?

Mais Jacques Parizeau rejette l'appel de députés qui ne sont même plus les collègues de son épouse. «Jeunes députés»: M. Parizeau ne manque pas d'ailleurs de déplorer l'élasticité du qualificatif utilisé par les signataires: «Certains d'entre vous ont dépassé la quarantaine ou sont sur le point de l'atteindre. À quarante ans, René Lévesque nationalisait les compagnies d'électricité», rappelle l'ancien chef péquiste.

Il souligne que quelques «vrais» jeunes ont servi de «caution» dans l'opération. (En fait, dans la douzaine de signataires, trois ou quatre pourraient être membres du Comité national des jeunes du PQ.) Si on lui avait dit, à lui, qu'il était «jeune» lorsqu'il avait cet âge — alors qu'il avait déjà travaillé avec trois premiers ministres successifs —, il aurait «mordu», écrit-il. «Quarante ans, c'est la force de l'âge, disait-on alors.»

Liberté de parole bafouée

Mais, surtout, M. Parizeau s'indigne qu'on lui demande de se taire alors qu'à son sens, la crise qui vient de bouleverser le PQ de Pauline Marois a précisément été déclenchée par un excès de contrainte à la liberté de parole.

Cette crise émane du dépôt de la «proposition principale», soit le brouillon de programme du PQ, en juin 2010, explique l'ancien chef. Lisette Lapointe fit alors remarquer que l'article 1 redéfini par Mme Marois et son entourage était plutôt «faible». À partir de ce moment, déplore l'ancien premier ministre, «on passera le mot que tout projet d'amendement à l'article 1 serait considéré par la direction du parti comme attentatoire à l'autorité de la chef». Pour le renforcer, Mme Lapointe rédige une «Proposition Crémazie» (du nom de sa circonscription) qui finit par cheminer d'instance en instance — «souvent battue», admet rapidement M. Parizeau —, mais qui sera toutefois jugée «irrecevable» au congrès de la mi-avril 2011. M. Parizeau rappelle qu'il est intervenu fin mars dans Le Devoir pour appuyer son épouse et déplorer le «flou artistique» de l'approche préconisée par Pauline Marois.

Au passage, M. Parizeau salue la dissidence de Daniel Turp, à l'époque président de la commission politique et candidat à la présidence du parti, qui aura permis de lever la décision d'irrecevabilité «en dépit des ordres reçus». M. Turp sera finalement battu par Raymond Archambault à la présidence. Puis, M. Parizeau souligne une autre contrainte excessive dans le PQ de Pauline Marois: un des quatre éléments de la proposition Crémazie a été «battu à plate couture en Commission après un "débat" limité à... trente secondes!».

Fautes stratégiques et «gâchis»

Quant à l'épisode du projet de loi 204, qu'il baptise «Maltais-Labeaume», sur l'entente de gestion Québec-Quebecor du futur amphithéâtre de la capitale, il a donné lieu à une «incroyable comédie politique», juge M. Parizeau. La question de la liberté de parole est soulevée encore une fois, mais «de façon bien plus aiguë encore», insiste-t-il: «Je n'arrive pas à comprendre ce qui s'est passé», écrit l'ancien premier ministre, semblant déconcerté par la faute stratégique de la chef péquiste, qui aura finalement remis le sort de ce projet de loi ultradélicate «entre les mains d'Amir Khadir qui s'en empara prestement». Une première faute doublée d'une autre: «Une fois compris que le projet de loi était virtuellement mort, pourquoi fallait-il ordonner à tous les députés du Parti québécois de voter en faveur et leur interdire même de s'absenter?»

Après avoir fait l'éloge des discussions, au colloque des IPSO, entre un «vieux» (Louis Bernard, candidat à la direction du PQ en 2005) et un «jeune», le démissionnaire Jean-Martin Aussant, l'ancien chef clôt son texte en qualifiant de «navrant» le geste d'un député péquiste proche des signataires (il ne le nomme pas, mais c'est Yves François Blanchet). Ce dernier s'est présenté au colloque des IPSO et aurait donné une entrevue à un journaliste de la télévision au moment où M. Parizeau faisait sa conférence.

Pauline Marois,
Jacques Parizeau,
Parti Québécois (PQ)


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Matulu Tremblay
Abonné
mardi 14 juin 2011 01h21
Bravo Monsieur Parizeau!
Voilà une intervention que nous attendions, enfin!

Merci! C'est une bouffée de jeunesse, de printemps dans cette saison politique stagnante.

Bravo encore!

Récidivez!

Jean-Michel Picard
Inscrit
mardi 14 juin 2011 01h22
Trop est aussi bon qu'un festin !
Parizeau vous savez si bien parler, alors «ne vous modérez surtout pas. Assez est aussi mauvais qu'un repas. Trop est aussi bon qu'un festin». Oscar Wilde

Georges Paquet
Abonné
mardi 14 juin 2011 04h35
Encore une querelle des anciens et des modernes...
Autrefois on était séparatiste et on croyait que les Québécois le deviendraient. Or pour prendre le pouvoir, on a plutôt proposé la Souveraineté-Association. Mais les Québécois n'ont pas suivi. On a proposé un beau risque. Ça na pas réussi. On a repris le pouvoir. Une deuxième tentative, cette fois de souveraineté-négociation. Ça n'a pas réussi. On a repris le pouvoir jusqu'en 2003, sans reposer de question aux Québécois. Cette fois, on propose une gouvernance souverainiste, sans parler d'indépendance ni de referendum. Les anciens disent que c'est plus comme avant. Les modernes disent qu'on ne peut pas toujours refaire la même chose.

Luc Boyer
Abonné
mardi 14 juin 2011 05h18
Mme Lapointe.
Les jeunes-vieux n'ont pas demandé à Jacques Parizeau de se taire, mais de les appuyer. Il ne les appuie pas, il les critique en prenant parti pour la partie adverse de Mme Marois. Mme Marois a mal manoeuvré et elle l'a reconnu. Mais l'adversaire était de taille et à l'intérieur du parti. Et malgré ce trente seconde de débat, elle a bien eu 93% au vote de confiance. Je continue donc à le penser. Ha! L'heureuse faute. L'avenir le dira.

AMeloche
Inscrit
mardi 14 juin 2011 05h27
Le culte de l'imbécilité.
Nous vivons à l'ère de la « jeunesse » autoproclamée, de la sottise et du bruit. Quelle cacophonie que cette soi-disant démocratie. Quand les gens stupides se tairont et prendront conscience qu'ils n'ont rien à dire, un grand pas aura été franchi. Il est de plus en plus assommant de « suivre » l'actualité qui refuse (comme l'exprime si bien Philippe Muray dans son livre Moderne contre Moderne) toute réalité.
André Meloche

Henry Fleury
Inscrit
mardi 14 juin 2011 05h41
Espèce en voie de disparition
M. Parizeau fait partie des derniers rares politiciens qui auront franchement marqué l'histoire du Québec, représentant l'intellectuel fougueux, le politicien mordant, celui qui ne passe pas par quatre chemins pour vous balancer vos quatre vérités en pleine gueule. Qu'il s'en prenne à la chef du PQ, on ne peut que l'applaudir tant son étoile est fade et sa mine penaude dans le firmament politique québécois. Si fade qu'on en vient à lire des énormités staracadémiciennes à la une du Devoir comme quoi les Québécois veulent François Legault. Wow ! Avons-nous si peu à dire pour nous remonter le moral ? Quelle foutaise, mais quel malheur aussi. Cette lignée de politiciens (Marois, Legault) est déplorable, affamée de pouvoir, bourrée d'argent et ne cherchant qu'à conserver leurs intérêts au dépend des jeunes justement et autres sans le sou. De grâce ne vous taisez pas M.Parizeau, ça fait du bien de vous entendre rugir.

lucge
Inscrit
mardi 14 juin 2011 05h58
Nostalgie
Monsieur l’ancien Premier-ministre,
Vous semblez confondre droit de parole et devoir de réserve. Que de nostalgie dans votre discours.

jean brunet
Inscrit
mardi 14 juin 2011 06h42
Opinion
Je suis assez d'accord avec lucge, ceci étant dit quant votre objectif est la souveraineté, ce n'est pas le pouvoir, question de cohérence et surtout de droiture.

Erwan Basque
Inscrit
mardi 14 juin 2011 06h48
Vendre un frigidaire à des esquimaux !
Bonjour,
Dans un bon vieux temps pas si lointain existait dans le Québec profond une expression qui voulait tout dire en voulant démontrer qu'une action ou bien un but quelconque ne trouvent pas preneurs. Cette expression navrante de simplicité disait : < C'est comme essayer de vendre un frigidaire à des esquimaux > ! Impossible de conclure une telle vente car le besoin n'y est pas ou bien que le produit ne trouve pas d'acheteurs suffisants.
C,est bien le cas de la pseudo souveraineté du Québec. La très grande majorité de tous les québécois en ont marre d'entendre cette vieille cassette usée jusque dans ses derniers sillons. C'est un peu le paradoxe de la poule ou de l'oeuf ! Madame Pauline Marois a flairé l'air ambiant. Le plus le Parti Québécois va parler de cette désormais lubie, le plus sa défaite sera prévisible en faisant face à un électorat qui en a plus que raz le bol de ces loufoques chimères. Et le Parti Québécois se doit de parler de gouvernance et d'intendance si les péquistes veulent au moins une chance d'accéder au pouvoir non pas par la porte arrière à cause du désenchantement des électeurs. Personne mais jamais personne n'a résolu la quadrature du cercle, n'en déplaise aux purs et durs et aux caribous, à tout le Mou nationaliste et à tous ceux qui font dur ! Merci beaucoup, Erwan Basque.
e

Ginette Boily
Inscrit
mardi 14 juin 2011 06h50
LES PENDULES À L'HEURE
La réplique de Parizeau, c'est la mise à l'heure juste des pendules de la crise qui sévit présentement au parti Québécois.

De vieux-jeunes demandent publiquement, dans une lettre au Devoir, de se la fermer et "d'être plus discret." ???? Encore une autre incohérence de Marois. Décidément!

Andre Vallee
Abonné
mardi 14 juin 2011 06h50
Parlez, je vous en prie.
Excusez-moi, élus et non élus souverainistes, ce titre n'est pas pour vous. Il est pour les élus libéraux, 100% derrière leur chef, le Pape libéral, infaillible et à qui on doit respect et obéissance. Heureusement que la grosse majorité des Québécois n'en veulent plus; en ont-ils déjà voulu? Il est devenu majoritaire par absentéisme électoral.
Continuez, M. Parizeau, et vous aussi élus et militants péquistes. Parlez.

iiibooo
Inscrit
mardi 14 juin 2011 07h00
Quand un monument parle...
M. Parizeau, un homme de votre stature politique, qui nous ramène l'ordre, cela fait réfléchir... Je vous respecte au plus haut point, pour moi vous êtes un intouchable... Mais que proposez-vous..? Allez plus loin svp dans vos affirmation et dans vos intentions, plusieurs attendre vos directives..! Soyez clair svp, brisez l'ambigüité actuel ! Passez clairement vos directives, plusieurs attendent..! Merci de votre position, et de préciser la voie à siuivre..!

Jean St-Jacques
Abonné
mardi 14 juin 2011 07h04
Parizeau et l'indépendance?
Comme dit Lucge, M. Parizeau confond le droit de parole et le devoir de réserve.
Il faut remonter à Labeaume pour connaître l'origine du problème avec la loi 204
qui aurait dû être parrainée par Charest qui était trop lâche pour le faire. Cette loi visait à empêcher les gens de contester l'entente Labeaume/Péladeau. C'est là que le droit de parole est bafoué et qui est à l'origine du problème. M. Parizeau aurait dû discourir sur cette loi et non sur le PQ. Labeaume ne tolère pas la contestation et celui qui le critique est contre lui...

On peut reprocher au PQ de s'être mêlé le nez où il n'avait pas d'affaire et Madame Maltais qui cherchait des votes, a commis une faute grave. Elle a fait preuve d'un manque de jugement. M. Parizeau aurait dû attaquer les vrais responsables. Mais il avait une chance de détruire l'élan de madame Marois vers la souveraineté.

Son attitude ne fera pas avancer la souveraineté et on ne lui demande pas de se taire mais d'user de discrétion et de jugement. La lettre des 12 députés ne visait pas à le faire taire mais lui faire comprendre que l'écart de génération existe et que les moyens peuvent différer sans être condamnables.

Le droit de parole n'est pas en cause mais la manière...

Marie Mance Vallée
Inscrite
mardi 14 juin 2011 07h06
Et si cela était...
Ce n'est un secret pour personne que le droit de parole est bafoué au PQ depuis sa fondation. Et ce dossier n'est que la pointe de l'iceberg, à mon avis.

D'ailleurs, qu'avez-vous dit lors du dernier congrès, sauf ce que votre épouse en avait à dire ? Il aurait été temps d'intervenir. Je crois que vous aviez un autre agenda...

Trois ou quatre personnes ont-elles plus de poids que tous les membres du PQ réunis qui ont voté le plan Marois ? Tous se seraient-ils faits tordre les doigts ? J'en doute.

Madame Beaudoin a bien raison, nous avons un grave problème de démocratie.

Lasante Pierre
Abonné
mardi 14 juin 2011 07h08
Quand M. Parizeau parle...
Ses propos sont publiés dans les journaux. Que les jeunes péquistes qui lui ont demandé de se taire notent la leçon!

Leproff
Inscrit
mardi 14 juin 2011 07h11
L'aigritude de parizeau
Ce quee Parizeau n'a pas réussi à faire, il voudrait que les autres chefs péquistes le fasse! S'il voulait tant travailler à l'indépendance du Québec, il n'avait qu'à demeurer en poste au lieu de démissionner et se cacher dans les coulisses là où il pourrait continuer à souffler les paroles aux autres.

Il est bien mal placé pour reprocher aux autres que la liberté de parole est bafouée!!

Monsieur Parizeau se comporte comme un vieux prof aigri et nostalgique d'un passé révolu!

Annie Chouinard
Abonné
mardi 14 juin 2011 07h13
Conflit générationnel
Je dois dire que lorsque j'ai lu la lettre des 12 députés, je l'ai trouvé touchante et j'ai eu envi de les remercier. Ces "jeunes" députés (à 40 ans, tu es jeune quand tu parle à quelqu'un qui en an 80!... cessons les frustrations mal placées) souhaitent parler de souveraineté différemment de la façon dont leurs parents en parlent, souhaitent faire de la politique autrement et cela est très légitime. Parizeau aurait dû les appuyer et agir en vrai sage... être présent au besoin, pas systématiquement pour critiquer les façons de faire comme il le fait actuellement.

Les médias accordent tellement de crédit à M. Parizeau qu'il semble avoir l'exclusivité de la vérité pour ce qui est de l'idée de la souveraineté et de la gouvernance du Parti Québécois. N'oublions pas que ce sont les membres du parti qui donnent l'orientation au programme, et Parizeau peut bien ne pas être d'accord mais en désavouant constamment le PQ et ses membres, c'est toute l'idée de la souveraineté qu'il désavoue. Il devrait y réfléchir s'il "souhaite vraiment voir la souveraineté se réaliser avant de mourir"... il n'use pas de la bonne stratégie.

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