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 Pauline Marois m’ennuie !

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Pauline Marois m’ennuie !  Empty
MessageSujet: Pauline Marois m’ennuie !    Pauline Marois m’ennuie !  EmptyVen 15 Juil - 19:33


Bernard Frappier
Tribune libre de Vigile
vendredi 15 juillet 2011 236 visites 25 messages

Je le dis tout de go : Pauline Marois m’ennuie ! On l’a comparée à une diva de bande dessinée. Elle me fait plutôt penser à l’image renversée de Nathalie Normadeau, Liza Frulla ou Fatima Houda-Pepin. Elles sont libérales, fédéralistes, sans complexe. Bavardes. Politiquement limitées. Contrairement à Pauline Marois qui ressemble davantage à une Fille d’Isabelle, une Dame de Ste-Anne, une Dame patronnesse. Elle essaie de tout son coeur, avec des mots usés, de ranimer la flamme souverainiste, elle se fâche au nom de la vertu, sa colère explose à l’Assemblée. Mais rien n’y fait : les sondages montrent qu’elle ne sera jamais Premier ministre, que les Québécois n’y croient pas. Elle parle, parle, s’agite, mais les militants la quittent. Son destin est scellé.

Personne n’est surpris de voir le désarroi s’emparer des troupes, à quelques mois peut-être d’élections anticipées. De voir des députés quitter le parti. De constater l’intensité des réactions, émotives ou réfléchies, pour ou contre le "PQ-Marois".

La perspective se détériore encore davantage quand on considère la conjoncture internationale, et les enjeux majeurs de la politique proprement québécoise, décrits récemment par Richard Le Hir et sur lesquels est revenu Jean-Paul Bélisle. (corruption, ressources naturelles, langue et immigration)

Alors la question se pose :


- dans une conjoncture mondiale turbulente où les équilibres économiques, politiques et sociaux prennent des allures de catastrophes menaçantes imminentes ;

- dans une conjoncture québécoise marquée par une corruption des affaires et une dénationalisation arrogante des acquis de la Révolution tranquille ; marquée par un processus d’anglicisation soutenu et progressif, alimenté par la hargne canadian et le flux migratoire intensif ;

- il devient impératif pour les citoyens québécois de se séparer du gouvernement Charest et de prendre leurs distances envers les oligarchies qu’il cache et sert aux dépens de leurs intérêts.

- Les Québécois doivent absolument reprendre leur État en mains.

- Mais comment faire quand l’alternance semble bloquée, tellement le PQ-Marois apparaît comme un repoussoir pour une majorité d’électeurs ?

Impossible... telle paraît la tâche d’une réingénierie du PQ, comme le suggère le député Drainville. Cet arbre s’est déraciné sous le poids de ses stratégies électoralistes tarées. Ses fruits étaient de toutes façons devenus non-comestibles pour un très grand nombre d’électeurs.

Alternance bloquée - quel cul-de-sac ! Le goût du changement prend sa source là ! Et cela n’échappe plus à personne.

Ce sera le PLQ-Charest, le PLQ-Sirois ou... le miracle québécois !

***

Je me souviens de la conjoncture au début des années 2000 : les sondages montraient les Québécois en plein désarroi, eux qui avaient donné leur préférence aux trois partis en place... successivement, sur une période de six mois ! À ce moment, comme beaucoup d’autres, j’ai cru dans la possibilité pour les indépendantistes de former une "Grande Alliance" pour reconquérir le pouvoir et achever la lutte pour l’indépendance.

Aujourd’hui, la chose s’avère impossible ! Alliance de qui avec qui ? Puisque le PQ se prétend le vaisseau-amiral de la lutte pour la souveraineté, et puisque que ce navire a coulé à pic dans l’estime des Québécois, rien n’est plus illusoire que de compter sur ses débris en pensant les remettre à neuf. Ce vaisseau est bon pour la casse. La prochaine élection scellera son sort définitivement.

Aucune alliance, donc ; aucune alternance, non plus. Alors ?

Alors... il faudrait un miracle.

Les Québécois doivent trouver en eux-mêmes le salut de la Nation. Ils doivent trouver le moyen de faire savoir à ces politiciens qui songent à l’avenir de la Patrie en réfléchissant sur la fondation d’un nouveau parti indépendantiste, qu’ils sont d’accord avec cette décision, qu’ils soutiendront ce parti et qu’ils accorderont leur vote à leur projet résolu de faire du Québec un État indépendant.

Trop tard, diront certains, le temps joue contre nous, soulignent-ils, en rappelant le parcours de René Lévesque et des premiers péquistes. Bien sûr, il y a un temps entre la fondation d’un parti politique et le jour de son accès au pouvoir. Dix ans, peut-être. Et nous ne disposerions pas de ce temps... Vaudrait mieux retourner au vaisseau-amiral... Mais quel vaisseau ? Il est au fond de la mer !

Conclusion

Il ne semble plus y avoir d’autre issu que celle de fonder un nouveau parti politique indépendantiste.

En pensant que la conjoncture actuelle n’est pas comparable aux années 60. Et que, par conséquent, le délai entre cette fondation et l’accès au pouvoir pourrait être "miraculeusement" court. Explication.

Tout tient en un mot - NPD ! L’exemple de l’élection fédérale du 2 mai 2011 où les Québécois ont élu 59 députés NPD, soit 58 de plus que l’élection précédente. Tout ça parce que les Québécois ne pouvaient plus voter PLC (les commandites ont tué ce parti), ne pouvaient pas voter PCC (Harper est l’anti-modèle pour les Québécois) et ne voulaient plus voter BQ (20 ans de bloquisme, ça suffit).

Ils sont nombreux ceux qui croient que la prochaine élection produira un balayage du PQ (40 ans, ça suffit). Que les électeurs ne peuvent pas voter PLQ (corruption et dénationalisation). Que les tiers-partis sont marginaux. Et que le moment Sirois-Legault se révélera dans la clarté de ses engagements comme un PLQ-bis, ce qui éteindra toute amorce de confiance.

Mais pour qui voteront-ils alors ? Voilà le hic, et voilà le miracle anticipé...

Un parti indépendantiste, formé d’un noyau dur de députés ex-péquistes ou ex-bloquistes, s’engageant dans une démarche résolue et ouverte vers l’indépendance, un tel parti ne prendra pas des années à s’implanter.

Résolution et transparence, les deux règles qui assureraient à ce parti des adhésions massives et instantanées. Il ne faut pas oublier que les Québécois ont pratiquement quitté le PQ mais sont toujours souverainistes à plus de 40% !!!

Le miracle, en fait, n’est rien d’autre que le mariage de la conjoncture politique québécoise instable et du courage politique d’acteurs réfléchis et compétents.

----

Extrait (2003)

Une course ou une refondation ?

La démission annoncée de B. Landry a ouvert la course à la chefferie du PQ. La question qui se pose est celle-ci : un parti marqué par un tel héritage peut-il produire un chef capable de mener à la création d’un pays ? Un chef capable d’affirmer sans esquive l’enracinement national du projet souverainiste, et capable de mettre à sa place, fermement et fortement, tout pourfendeur mal-intentionné, d’où qu’il vienne et qui qu’il soit ? Un chef capable de proposer aux Québécois un projet clair, simple et complet d’indépendance nationale ? Sans fuite en avant dans une rhétorique ridicule ? Sans confusion sur les fins et sur les moyens ? Sans tergiversation ? Sans finasserie ? Sans recul suspect ? Un chef capable de s’adresser au monde et d’expliquer la légitimité et les avantages de l’indépendance politique du Québec ? Capable de s’adresser aux USA et de leur expliquer la profondeur historique de cette lutte et la modernité de ses objectifs ? Capable de dire aux Canadians que le gouvernement du Québec sera tout disposé à examiner avec bienveillance une proposition d’association entre les deux pays que leur gouvernement fédéral voudrait bien lui soumettre ?

Si le sérail peut produire un tel chef, c’est que le PQ aura subi une cure de jouvence... Il semble qu’il y a en ait au moins 400 000 qui doutent qu’un tel événement se produise au sein d’un parti héritier du "trait d’union fondateur" et d’un habitus acquis prédisposant à l’esquive et à l’ambiguïté. Boisclair, Legault, Marois, des noms qui soulignent la continuité plutôt que la refondation. Est-ce à dire que, si le PQ veut survivre à sa défaite, il doit lui advenir un chef hors-sérail ? Je ne doute pas un instant qu’ils sont nombreux ceux-là qui, non seulement le pensent, mais le souhaitent pour le bien de la Cause. Les prochains mois diront jusqu’où le PQ est capable de renouveler son projet et de présenter un chef fort et crédible.



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Vos commentaires:

Pas un mais au moins deux nouveaux partis !
15 juillet 2011, par Serge Charbonneau

Lorsque j’ai lu de votre part, Monsieur Frappier :

« Il ne semble plus y avoir d’autre issu que celle de fonder un nouveau parti politique indépendantiste. »

J’ai cru à une blague et j’ai pouffé de rire.

Mais je m’excuse, vous étiez sérieux !

Bon allons-y gaiement pour un nouveau parti qui lave plus blanc. Le mien est meilleur que le tien et hop le tour est joué...
Demain nous serons Indépendant.

L’Indépendance dans le fractionnement !

Moi, je me dis que pour mettre plus de chance de notre côté, nous devrions avoir, non pas un mais au moins deux nouveaux partis. (*JOKE*) Plus il y en a, plus ça nous fait de bons textes sur Vigile.

Et hop ! Demain, il y a aura tellement de gens qui connaîtrons la recette de l’Indépendance que nous pourrons en faire un livre.

Les livres de recettes sont les plus gros vendeurs.

Avec les profits de ces ventes, il y aura de quoi subventionner Vigile pour l’éternité.

Salutations,

Serge Charbonneau
Québec

Il faudrait un miracle !
15 juillet 2011, par @ Bernard Frappier

Comme le compteur enregistre 0 lecteur, même après votre commentaire, je conclus que vous n’avez pas lu le texte, vous contenant des sous-titres.

Ça commence mal, pour un premier commentaire, de la part d’un auteur que par ailleurs j’apprécie.

Dommage !

Il faudrait un miracle !
15 juillet 2011, par RenéP.

Ce qu’il nous faut au Québec c’est d’avoir un parti indépendantiste aussi radical (i.e. dont l’unique but est de rendre le Québec autonome sans faire de compromis) que les partis fédéralistes sont radicaux.

Il faudrait un miracle !
15 juillet 2011

[1] Serge Charbonneau pense qu’il faut unir tous les partis souverainistes.

[2] Le Conseil de la souveraineté du Québec, Gérald Larose en tête, tourne en rond avec ce projet depuis 6 ans et n’y arrive pas. Tâche impossible. QS et PQ sont à couteaux tirés et le PI fait chambre à part, alors que d’autres se sont réfugiés dans l’action citoyenne, avec Cap sur l’indépendance et ailleurs.

[3] Moi, je penche pour un "parti" indépendantiste, dans sa forme allégée et minimale, moderne et branchée, avec 125 candidats citoyens unis par un pacte simple à double volet : déclaration d’indépendance et constituante citoyenne.

[4] Tout le reste est libre.

[5] Un programme d’État. Pas de plate-forme électorale provinciale traditionnelle. Quelques items (4-5) simples au menu.

Pierre Cloutier

Il faudrait un miracle !
15 juillet 2011

Miracle ! Le mot est lancé et il est bien choisi. Rien de prévisible ne laisse poindre la fin des injustices envers les Québécois, envers les petits peuples et les petites gens de chez-nous et de partout. L’appel au « miracle » m’apparaît plus pertinent que le renoncement à tout idéal pour rejoindre le PQ ! Le camp du « miracle » pourrait vite devenir le camp politique le plus nombreux chez-nous, s’il est animé d’un « esprit » capable de faire renaître l’espoir. J’ai le sentiment que c’est de plus en plus le camp le plus pertinent d’ailleurs, celui qui me semble rejoindre les populations d’Afrique du Nord, du Moyen-Orient, d’Asie centrale, d’Europe et d’ailleurs ; il regroupe virtuellement les sans-moyens de partout, unis dans leur écoeurement de la violence inhumaine des puissances de l’argent, des atteintes aux droits humains et nationaux et des mensonges systématiques du discours politique et médiatique.

Il nous faudra non seulement des gens compétents mais des gens porteurs de souffle, des gens inspirés.

GV

Votre compteur est défectueux.
15 juillet 2011, par Serge Charbonneau

J’ai très bien lu votre texte, Monsieur Frappier.

Je ne commente jamais sans lire le texte.

Et d’ailleurs comment peut-on faire pour envoyer un commentaire sans accéder à la page du texte ?

Dites-moi le truc, s’il vous plait, au cas où l’envie me prendrait de commenter sans lire.

Merci pour le truc et allons-zi gaiement pour les nouveaux partis, je crois que le fractionnement c’est la solution. Nous sommes tous tellement différents. Alors, aussi bien se faire plaisir. Allez hop, chacun son parti et hop elllllle est partie !

Salutations, Monsieur Frappier,

Serge Charbonneau
Québec

Un rêve en couleur qui se réaliserait avec le nouveau parti sauveur !
15 juillet 2011, par Serge Charbonneau

Monsieur Cloutier, vous croyez vraiment qu’un "parti" indépendantiste, dans sa forme allégée et minimale, moderne et branchée, avec 125 candidats citoyens unis par un pacte simple à double volet : déclaration d’indépendance et constituante citoyenne pourrait rallier tous les Indépendantistes ?

Moi, je crois que vous rêvez en couleur. Une simple pétition disant que nous proclamons le Pays ne rallie pas les gens, alors un parti…

Et le parti Indépendantiste ?
Il était encore trop compliqué ?

Je crois que cette solution du passage de l’Indépendance par le parti sauveur est une impasse. Je crois que seuls les efforts mis en commun dans un but commun en conservant nos différences plutôt qu’en tentant de les nier peut nous mener vers le Pays.

Un autre parti…
Je vois déjà les fédéralistes rire au-dessus de leur barbe.

Salutations,

Serge Charbonneau
Québec

Il faudrait un miracle !
15 juillet 2011, par André La Boissonnière

WOW... En effet, Charbonneau a fait de lui du CHEF mais lapidaire se devait être la réplique de Monsieur Frappier.

Je vous remercie de la clarté de vos propos qui coulent comme de l’eau de source, je suis le premier adhérant à cette idée.

Je ne fréquente plus le PQ depuis 1992 quand un certain Jacques Léonard, député de Labelle, refusait de faire de l’éducation populaire et politique avec l’argent que notre exécutif peinait à ramasser ici et là dans cette vaste circonscription. Mais pour acheter de stupides T-SHIRT et la revente à perte cela lui semblait utile.

Quand j’ai donné ma démission puis déchiré ma carte du PQ tout l’exécutif et son député m’invitaient à signer une déclaration de confidentialité que j’ai bien sûr refusée en me levant le coeur par le fait même que l’on ait pu m’exiger cela. IGNOBLE, me disais-je à l’époque.

Entre-temps j’ai eu un court, très court épisode de retour parce que Jacques Parizeau délogeait le stupide Jean-Marc Johnson ainsi que sa ridicule autonomie nationale. Quant à Bernard Landry il me levait encore plus le coeur après qu’il eut tant tergiversé à ne pas réhabiliter ce grand MICHAUD ! Marois, OUF ! je vous en prie mais surtout pas avec ses escarpins de maîtresse d’école non vraiment pas capable et encore moins quand il s’agit de se rappeler ses accointances avec la FTQ, son fonds de solidarité (à quand les enquêtes ?) où trop de syndicats par leur adhésion au PQ en prennent le contrôle... dehors les meubles le peuple mérite mieux.

Depuis 1995, après ce vol spectaculaire de la démocratie par ce pays étranger qu’est le Canada, quand je voyage à l’étranger je ne m’identifie que québécois que ça plaise ou pas, je réalise que notre seule alternative est la déclaration pure et simple de notre indépendance territoriale, culturelle et nationale par l’effet d’une élection référendaire avec pour fond l’avancement d’un régime républicain, l’établissement des états généraux ayant pour but de prononcer la constitution québécoise et l’appel à tous les québécois que dorénavant leur appartenance nationale au Québec leur procure notre passeport en conséquence et, enfin, la réappropriation d’une monnaie nationale unique et ou associative aux plus offrants.

Ce n’est plus une promesse de foi mais bien là où je nous vois dans un très court laps de temps en Amérique du Nord.

Il faudrait un miracle !
15 juillet 2011, par SaintJean

Tout à fait d’accord avec M. Frappier. Comme j’ai déjà écrit, dans le contexte politique actuel les Québécois ont soif de nouveauté. La défaite cinglante du Bloc et la grande popularité d’un futur parti de centre droit de Legault en est une preuve flagrante.

Pour les indépendantistes, offrir du nouveau à la population, c’est de leur offrir un nouveau parti avec un nouveau chef, une nouvelle stratégie et enfin une nouvelle façon de faire de la politique.

En voulez-vous du nouveau !

Il faudrait un miracle !
15 juillet 2011, par @ Bernard Frappier

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Le chat sort du sac ! Orgasme total et à répétition !!!
15 juillet 2011, par Laurent Desbois

Le chat sort du sac !

Orgasme total et à répétition !!!

Il faudrait un média
15 juillet 2011, par Jeune Québécois

D’accord pour un nouveau parti indépendantiste. Je constate que le PQ n’attire plus la sympathie du public. Il semble que, malgré un programme politique intéressant, les représentants en place ne sont pas capables de rallier une majorité de la population. La marque PQ n’enthousiasme plus, même devant le pire gouvernement de l’histoire du Québec. Dans la tête de la population dont l’esprit est bien formé par nos médias de masse, PQ et PLQ, c’est du pareil au même. Il faut voir clair.

Un défi majeur attendra un nouveau parti indépendantiste. Comment faire élire un gouvernement qui travaillera dans l’intérêt de la majorité de la population si les médias tirent à boulet rouge sur tout ce qui ne fait pas parti de la clique des oligarques ?

Il faudrait un miracle !
15 juillet 2011, par Luc Bertrand
Bonjour monsieur Frappier, Que je suis heureux de vous voir tenter de mettre fin à la récréation entre les péquistes indécrotables et les purs indépendantistes ! Après les crises du printemps 2003 (après la perte du pouvoir), de la période 2004-2005 ("La Saison des Idées", la démission-surprise de Bernard Landry et la course à la direction du PQ qui a suivi) et celle du printemps 2007 (suite à la démission d’André Boisclair), je crois (...)
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Il faudrait un miracle !
15 juillet 2011

Monsieur Charbonneau,

Vous nous dites ailleurs que « JAMAIS » l’indépendance ne se fera avec un seul parti.
http://www.vigile.net/Devant-la-gra...
Vous devriez vous réjouir parce que votre exigence démocratique sera bientôt plus que satisfaite. Un autre parti viendra en effet enrichir la coalition de vos rêves. Il en faut au moins un parmi ces partis qui, en plus d’être rassembleur, mettra résolument l’indépendance au sommet de ses priorités. Il y a là un vide à combler, ne le voyez-vous pas ? Je m’étonne de tant de véhémence de votre part contre cette nouveauté, pourtant un signe de vitalité démocratique !
Si j’étais fédéraliste, c’est plutôt le bilan indépendantiste du PQ et de QS qui me ferait rire dans ma barbe ; le PI aussi, mais pour d’autres raisons, son programme est indépendantiste mais son approche peu attrayante lui a fait raté son décollage.

GV

Il faudrait unir nos forces. NI les ignorer, ni les disqualifier
15 juillet 2011, par Luc Archambault
M. Frappier, Réparer votre compteur. Il n’y a pas moyen de déposer un commentaire à un texte sans y accéder. Le mérite de votre contribution est de démontrer que l’éditeur de VIGILE.net que vous êtes prend parti, littéralement. Le problème c’est que cette personne que vous êtes impose aussi ses vues à l’éditeur que vous êtes. Et ça ne date pas d’hier. Hier vous avez encouragé le PQ-Bloc-Rentre-dedans, le PI. (...)
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Il faudrait un miracle !
15 juillet 2011, par Sylvain Racine
Pas besoin de miracle. Avant de donner mon avis, j’aimerais faire remarquer que M. Charbonneau est vraiment un éteignoir. Même chose suite à mon texte du 7 juin http://www.vigile.net/Les-independa... (voir les commentaires) On s’en fout du nombre de parti. Ce que les gens veulent, c’est de la nouveauté, de l’audace, de la fraîcheur, la vérité, de l’intégrité... puis ici, sur Vigile, je crois que TOUT le monde (...)
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Il faudrait un miracle !
15 juillet 2011, par Bruno Deshaies
Mettons les choses en perspective. Serge Charbonneau dixit : Faire la promotion de l’Indépendance, ce n’est vraiment pas faire la promotion d’un parti politique. Vraiment, vraiment pas. Pour faire la promotion du Pays, il s’agit de démontrer ce que nous voulons tous. En démontrant les points que nous voulons tous, nous faisons la démonstration que nous désirons le Pays. Il s’agit de démontrer que nous (...)
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Il faudrait un miracle !
15 juillet 2011, par Denis Julien de Lotbinière

Monsieur Frappier, merci pour ce texte éclairant. Personnellement, je ne parie pas cinq sous sur l’avenir du PQ-Marois.
Et entre nous, je vais vous faire une confidence sur le pourquoi de mon insistance à signer Denis Julien de Lotbinière.
C’est de Lotbinière qu’est venue la fronde qui a mis le pied- au- cul à Pierre-Marc Johnson et qui a sonné le signal du retour de Jacques Parizeau ainsi que de l’espoir.
Il est minuit moins une ! Nous n’avons plus le temps de fonder un nouveau parti.
Je vous fais une prédiction ; Marois va démissionner d’ici la fin août.

Il faudrait un miracle !
15 juillet 2011

M.Frappier,
Lors de la déconfiture du BQ à l’élection du 2 mai, je me suis dit malgré la surprise que c’était mérité. J’avais assisté à deux rassemblements où Gilles Duceppe tentait de motiver les troupes. On était déjà des convaincus, une chance d’ailleurs car le discours était ennuyant.

Le ressenti concernant Mme Marois est le même, elle est loin de soulever l’enthousiasme dans la population. De plus à maintes occasions, elle n’a pas saisie la balle au bond afin de défendre les intérêts des citoyens dans différents dossiers.

L’appui à l’indépendance d’environ 40% est surprenant alors que les médias partisans du fédéralisme répètent à satiété que les gens sont passés à autre chose. C’est faux et archi-faux, le grondement souterrain des Québécois n’est plus un murmure, c’est du sérieux. Différents leaders sont à l’avant-scène, tel Mario Beaulieu, Richard Le Hir, Patrick Bourgeois, Gilbert Paquette et plusieurs autres dont je ne sais pas le nom mais qui sont en mouvement.

L’Indépendance nationale par et pour le peuple, le seul en droit de décider de son avenir.

Lise Pelletier
P.S. Commentaire exprimé en mon nom personnel

Je déroge à ma décision de ne plus intervenir ici...
15 juillet 2011, par Michel Laurence

Je déroge à ma décision de ne plus intervenir ici, puisque j’ai publié un texte dans mon blogue sur Vigile.net et Bernard Frappier, en réaction à son dernier texte.

Je ne veux pas avoir l’air de parler dans le dos de quelqu’un. Reste à voir si Bernard Frappier me publiera.

Vigile.net : enfin Bernard Frappier enlève son masque ! http://t.co/6pI0fXs

C’est fou ce que c’est bon !
15 juillet 2011, par Serge Charbonneau

Nous sommes doués pour nous engueuler vertement.

Si nous étions aussi doués pour mettre nos forces ensemble, nous serions Indépendant rapidement.

Mais, moi, comme dit Monsieur Racine, je suis un terrible éteignoir.

Ici, sur Vigile, c’est l’école de l’Indépendance. Il y a plein de professeurs tous plus compétents les uns que les autres. Tout le monde a une solution (moi compris, bien entendu), mais nous constatons que nous n’avançons pas d’un millimètre.

Vive le nouveau parti.

Serge Charbonneau
dit l’éteignoir parmi les allumeurs.
Québec

P.S. : C’est fou ce que l’on peut avoir du plaisir à s’engueuler. Les fédéralistes l’ont facile !

J’espère au moins que l’on a remarqué certains de mes arguments !
15 juillet 2011, par Serge Charbonneau

Monsieur Frappier m’accuse de ne pas l’avoir lu !
Un autre m’accuse d’être un éteignoir !
Et plusieurs autres m’accusent d’être un déplaisant de la pire espèce.

J’espère que tous ceux qui m’accusent ont au moins lu mon texte disant :
« Devant la gravité de la situation, nous ne serons JAMAIS Indépendant. »
http://www.vigile.net/Devant-la-gra...

Ce serait la moindre des choses et au lieu de me dire des choses d’une pertinence éloquente, les points sur lesquels vous considérez que je suis totalement dans l’erreur pourraient peut-être être soulevés.

Ce serait plus… plus… disons "constructif".

Salutations Indépendantistes
(quoique je me demande si je ne suis pas fédéraliste avec les commentaires que je reçois !),

Serge Charbonneau
Québec
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